Séance de courts-métrages au Círculo de Bellas Artes

Arash Fayez, Assia Piqueras, Manuel Abramovich, Guillaume Lillo

1JULHO 2023, 17h00
Mostra de Vídeo


SAMEDI 1er JUILLET - À 17H00

LIEU : 

  • CINE ESTUDIO - CÍRCULO DE BELLAS ARTES
    C/ Marqués de Casa Riera, 4


Prix unique spécial : 3 €

Tickets en vente sur circulobellasartes.com ou au guichet avant la séance

 

 

À l'occasion d'une séance spéciale de courts métrages, la Casa de Velázquez présente le travail de ses cinéastes et vidéastes résidents.

Quatre propositions très différentes, tant par leur forme que par leur contenu, mais qui ont en commun un même souci de regarder le monde droit dans les yeux, sans peur ni retenue.

Quatre voix parmi les plus essentielles de la scène émergente actuelle.

 

PROGRAMME

  • I can only dance to one song
    Arash fayez, Espagne, 2022, 11 min.

I can only dance to one song explore le rôle de la musique dans la formation d'un sentiment d'appartenance à un lieu. Elle dépeint des récits de déplacement ancrés dans l'expérience des migrants vivant dans un contexte nouveau et souvent peu familier.  Cette vidéo filme individuellement un certain nombre de personnages de la communauté immigrée de Barcelone écoutant et dansant sur la musique de leur choix dans divers espaces publics et privés. En incorporant la danse comme un acte expressif de transformabilité, cette œuvre illustre le paysage émotionnel du déplacement à l'aide d'actes corporels dans un cadre quotidien.
 

C’est une marche au désert. La marche d’un jeune Guinéen arrivé en France à l’hiver 2016. Sa parole a quelque chose en commun avec certains versets des Écritures. Le film les fait dialoguer à travers le corps d’une femme rendue au silence d’un deuil biblique et contemporain.
 

Tu cherches quoi ? Tu as envie de moi ? On s'amuse un peu ? Sept travailleurs du sexe roumains de Berlin sont mis en scène alors qu'ils écoutent et réagissent à des enregistrements de leurs propres expériences.
 

À bord de voitures qui le prennent en stop, un jeune homme raconte la dépres­sion qui l’a conduit au centre médico-psychologique où il côtoie les zozios, de drôles de zozios, libres et perchés comme des oiseaux.

 

 

 

 

 

 

PODCASTS
01/01/1970 - Français